Les montres mécaniques à remontage automatique
Nous partons des éléments de base du mouvement primaire et ajoutons les pièces qui permettront à l’utilisateur d’avoir à son poignet une montre « automatique ». Le changement primordial intervient au niveau du barillet, lequel n’aura plus de taquet d’arrêt pour le ressort, son ruban sera lisse. Quant au ressort de barillet, il sera muni d’une bride très ferme permettant un bandage de celui-ci toujours constant, d’où régularité de la tension distribuée.
Le principe est un ensemble de rouages partant du rochet de barillet pour aboutir par démultiplication à la masse oscillante mobile fixée en dernier sur un axe au centre du mouvement, laquelle dans sa liberté entraîne les rouages jusqu’à la source d’énergie, un cliquet et son ressort empêchant que le bandage du ressort ne se désarme.
Ceci demeure le principe, mais bien des manufacturiers, tout en partant du principe de base ont agrémenté leurs fabrications dans le but d’allonger ce que l’on appelle la réserve de marche. Hormis cela le principe primaire est identique : source d’énergie, finissage, échappement, minuterie.
Nous possédons quantité de fournitures pour nombre de ces calibres.
PLANCHE EN ECLATE DE DIFFERENTS MOUVEMENTS AUTOMATIQUES (Cliquez pour visualiser)
D’AUTRES MECANISMES AUTOMATIQUES (Cliquez pour visualiser)
NOTICES ET ILLUSTRATIONS
MOUVEMENT MECANIQUE
Planche en éclaté de différents
Mouvements automatiques.
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MECANIQUE ET QUARTZ